Aucune loi ne contraint à accepter la pose d’un compteur Linky.

Seconde visuel de la campagne d’AZB, de sensibilisation et d’information auprès du grand public.
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A Zürich, un restaurant a intallé un baldaquin pour des repas sans ondes

Dans le restaurant végétalien « Sacred » à Zurich – un coin repas protégé des ondes électromagnétiques :
Dans la tente (appelée baldaquin), les convives sont protégés de tous les rayonnements électromagnétiques, comme la 5G, ltéléphones portables, la WIFI, les antennes-relais, le Bluetooth, les montres connectées, etc.

Non à une exposition forcée de tous aux ondes électromagnétiques !

AZB inaugure avec ce visuel une campagne de sensibilisation et d’information auprès du grand public.
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UNE DÉCISION DE JUSTICE PROTÈGE L’EHS* PHILIPPE TRIBAUDEAU DE L’EXPULSION – COMMUNIQUE N°3

La décision du tribunal judiciaire de Dignes les Bains, par son Ordonnance de référé du 22 février 2024, reconnaît le droit au logement in situ et le droit au respect de la santé devant la manifestation d’une électrohypersensibilité extrême.

C’est une bonne nouvelle !

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L’association Zones Blanches (AZB), créée par la députée européenne Michèle RIVASI, se félicite de cette première décision de justice, qui protège Philippe TRIBAUDEAU de l’expulsion et participe à la reconnaissance des personnes électrohypersensibles.

« Le juge rappelle que le droit de propriété n’est ni général, ni absolu, et qu’il doit se concilier avec le droit à la santé. Il souligne la responsabilité de l’État à assurer un droit au logement à ses citoyens, et un droit au respect de leur santé. Cette décision est pour moi une reconnaissance de l’électrohypersensilité et de la toxicité des ondes » a déclaré l’EHS Philippe TRIBAUDEAU, membre du Conseil d’administration de AZB, suite à l’annonce de ce jugement.

Réfugié depuis 9 ans sur une parcelle exempte d’ondes électromagnétiques appartenant au domaine privé de l’État, menacé d’expulsion par l’ONF, Philippe TRIBAUDEAU vient de gagner un premier combat d’importance dans son bras de fer contre l’installation d’une antenne-relais à proximité de son lieu de vie.

Face aux arguments de l’ONF, qui demandait l’expulsion de Philippe TRIBAUDEAU au motif d’un trouble illicite de l’ordre public, Philippe TRIBAUDEAU a rappelé l’article 1er de la Charte de l’environnement, un texte de valeur constitutionnel intégré en 2005 au droit français, qui affirme « le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé », EHS inclus !

Face à l’absence de concrétisation de relogement adapté proposé par l’État, le droit à la santé des individus également défini par la déclaration des droits de l’homme, le pacte relatif aux droits économiques, sociaux et culturels ainsi que la convention relative aux droits des personnes handicapées ont aussi été invoqués.

L’association Zones Blanches se félicite d’avoir accompagné Philippe TRIBAUDEAU jusqu’à cette première décision de justice de la reconnaissance et de la protection par l’État des personnes électrohypersensibles.

Contact Presse : AZB, Marie-Noëlle BOLLINGER associationzonesblanches@gmail.com

En savoir plus sur Philippe TRIBAUDEAU : http://www.uneterrepourlesehs.org/billets/145-1/communique-et-revue-de-presse-2024

COMMUNIQUE PHILIPPE TRIBAUDEAU – N°3 – 06-03-2024
PRESS RELEAS E- Philippe TRIBAUDEAU – N°3- 06-03-2024
Lire l’ordonnance de référé du Tribunal Judiciaire de Dignes-Les-Bains au format PDF

Lire le communiqué n°2

Lire le communiqué n°1
Read the n°1 release in English

Live test – Impact des ondes sur le corps humain ! Communiqué de presse n°2

Suite aux vives réactions qu’a suscité notre communiqué de presse du 14 février, nous apportons ici quelques éléments de réponse aux nombreuses questions reçues :
Notre objectif prioritaire est d’empêcher la mise en service de l’antenne qui menace la sécurité de Monsieur Tribaudeau et d’interpeller une fois de plus les services de l’état.
M. Philippe Tribaudeau n’est en aucun cas volontaire pour être irradié.

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Si l’antenne est mise en route nous allons assister impuissants à ce qui ressemblera à une expérience sur un cobaye humain.
Les services de la préfecture vont sciemment irradier une personne EHS et ce, sans aucun protocole scientifique ni suivi médical.
Dans ces circonstances et en désespoir de cause, en collaboration avec le Dr IRIGARAY de l’ARIEM un protocole de suivi médical adapté à la situation de monsieur TRIBAUDEAU a été mis en place, transformant l’irradiation, programmée par les pouvoirs publics, d’une personne EHS non consentante en un test de provocation à valeur scientifique mais sans aucune possibilité de faire stopper l’expérience. Seuls les services de l’état le peuvent.
Après 16 ans de recherche pour trouver un lieu de vie compatible avec ses sensibilités, on arrive à l’heure de vérité.
L’éthique voudrait que l’état accepte d’ouvrir une zone blanche pour observer l’évolution et la santé des personnes EHS-MCS. Il est fort à déplorer que cela ne se fasse pas.
Nous réclamons conformément à L’article 1er de la charte de l’environnement que les personnes EHS puissent avoir « le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé ».
L’amélioration de la couverture en téléphonie mobile du territoire peut-elle se faire au prix de la vie de certaines personnes ?

Télécharger le communiqué au format PDF

Les EHS (électro-hypersensibles) : où et comment vivent-ils en France ?

Certains électro-hypersensibles (EHS) ont trouvé refuge dans des habitats d’urgence, d’autres ont passé l’essentiel du confinement sous des tissus de protection. Pour eux comme pour 3,3 millions de Français dont je fais partie, l’enfer, c’est les ondes. ◆ Les électro-hypersensibles, des parias Être EHS, c’est par exemple, comme dans mon cas, souffrir de maux […] Lire l’article sur le site de Nexus (2020)