Le conseil d’administration :
Il est composé de personnes morales et physiques compétentes et investies à divers niveaux sur les sujets de l’électrohypersensibilité, il se réunit en moyenne 1 fois par mois et plus selon les besoins de l’association.
Sa Composition
- Présidente : Michèle RIVASI, Eurodéputée et agrégée de biologie
- Vice-président : Dr Yves-Alexandre RAFALOVITCH, médecin en charge des questions de santé et EHS
- Vice-président : Jean-Michel GARNIER, chargé des affaires administratives et financières de l’association, fonctionnaire d’état et EHS.
- Vice-présidente : Catherine NEYRAND, Masseur-kinésithérapeute, méziériste, présidente de « Poem 26 » et EHS
- Trésorière : Jacqueline COLLARD, Présidente de santé Environnement Rhône Alpes-Auvergne, retraitée de l’Éducation Nationale.
- Secrétaire : Marie DUBOIS, chargée des relations avec les EHS-MCS, fonctionnaire hospitalière en retraite et EHS.
Administrateurs/administratrices
- Laure BIRGY, représentante « d’une Terre pour les EHS »
- Philippe TRIBAUDEAU, retraité de l’Éducation Nationale
- Pierre-Marie THEVENIAUD, membre du conseil de « Robin des toits », retraité de l’Éducation Nationale
- Antoine RICHARD, économiste retraité, ex chargé de mission au CEREQ (Centre d’études et de recherches sur les qualifications)
L’association Zones Blanches est composée de personnes EHS-MCS, de professionnels de la santé, de familles et de proches de personnes atteintes et des associations engagées sur ces questions.
L’association bénéficie de :
5 associations adhérentes opérationnelles :
- Robin des toits
- SERA : Santé Environnement Auvergne-Rhône-Alpes
- Poem 26
- Une terre pour les EHS
- SOS-MCS
D’un comité médico-scientifique :
Cette instance se réunit régulièrement, selon les besoins de l’association et les travaux en cours. L’animation et la gestion du Comité est assuré par le docteur Yves-Alexandre RAFALOVITCH.
Son ambition est d’être un lieu d’échanges, de réflexion et d’information sur les questions Médico-scientifiques relatives à l’électrohypersensibilité et à la chimicosensibilité.
Le groupe de travail à pour objectifs de/d’ :
– Echanger et de débattre sur la prise en charge des personnes EHS-MCS
– d’Informer et de former les professionnels de la santé
– Faire des propositions sur les orientations de recherche
Sa Composition
. Alain COLLOMB, médecin généraliste ASEF (Association Santé Environnement), Aix-En-Provence (13)
. Florence COUDERC, sophrologue Caycédienne
. Gérard DIEUZAIDE, Chirurgien-dentiste et posturologue, Toulouse (31)
. Richard FAITG, médecin anesthésiste/réanimateur, Allinges (74)
. Catherine FRANDEMICHE, infirmière Combovin (26)
. Charlotte GRECO Chirurgien-dentiste, Montpellier (34)
. Frédéric GRECO, médecin Anesthésiste, Montpellier (34)
. Bernadette LECOMTE (26), Psychosociologue, thérapeute en analyse psycho organique
. Christine MALFAY-REGNIER Ophtalmologiste, Présidente de l’association SOS-MCS, Valence (26)
. Nicole MILLEREUX, Chirurgien-dentiste orthodontiste pédiatrique, neuro-fonctionnalité, Milhaud (30)
. Catherine NEYRAND, Masseur kinésithérapeute, Présidente de l’association Poem 26, Roman sur Isère (26)
. Yves-Alexandre RAFALOVITCH, médecin généraliste, Amplepuis (69)
. Michèle RIVASI, Professeur agrégée en biologie, Députée Européenne, commission de l’environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire, Valence (26)
. Thierry SANDRETTO Chirurgien-dentiste, Chaponost (69)
. Pierre-Marie THEVENIAUD biologiste, Président de l’Association Robin des toits (68)
. Annie VALLA, infirmière Parnans (26)
. Maïlis Poncet, médecin généraliste, micronutrionniste (37)
Les ressources de l’association :
Les ressources de l’Association Zones Blanches sont limitées pour faire face aux différentes actions portées par l’association.
- Nous fonctionnons beaucoup grâce aux dons et aux cotisations de nos membres et sympathisants
- Une subvention du Programme européen Leader (Europe et Conseil Régional PACA) nous a permis de financer à 70 % le poste de chef de projet sur 3 ans et une partie de l’étude d’intégration. Ces financements s’arrêtent en 2023. Sans la reconnaissance du syndrome il est très difficile d’obtenir des financements par ailleurs.
- Nous travaillons sur la recherche de partenaires privés et publics